Michel Piscopo Hypnose L’Hypnose en détail.

L’Hypnose en détail.

Qu’est ce que l’état d’hypnose ?

Le mot « transe » veut littéralement dire « d’ici à là ». C’est un état de (trans)ition tout à fait naturel que nous expérimentons tous plusieurs fois par jour. Vous vous êtes déjà senti dans la lune, comme dans une rêverie, absorbé par vos pensées ? Hé bien c’est cet état léger que l’Hypnose provoque et amplifie. Mais il n’a rien à voir avec le sommeil… Au cours de la journée, l’activité de notre cerveau fluctue selon plusieurs cycles de veille/sommeil et d’attention plus ou moins soutenu.

Et bien entendu, chaque personne ayant sa propre manière d’être et de percevoir, elle vivra l’expérience à sa façon. Généralement l’état d’hypnose et l’état de veille ordinaire se différencient sur trois principaux plans : les réactions chimiques internes (biologie), les sensations physiques et les perceptions plus subjectives.

1 – Au niveau biologique : en transe, les sécrétions hormonales varient, le système nerveux ralentit, les ondes produites par le cerveau ralentissent leur fréquence…

2 – Au niveau des sensations : l’altération des perceptions de nos sens (perception du corps, audition, vue etc.) permet de transformer une expérience de l’esprit en réalité ressentie.

3 – Au niveau des perceptions : la perception du temps et des repères spatiaux peut changer, la perception de la douleur peut être réduite, la transmission d’informations (souvenirs, prises de conscience, émotions, imagination, intuition…) entre le conscient et l’inconscient devient plus facile… De manière générale, on éprouve un certain lâcher prise.

Pourquoi ça fonctionne ?

L’Hypnose est un moyen d’accéder à toutes vos ressources, mémoires et processus inconscients. Quand on sait que 90% de notre activité est inconsciente, on comprend mieux la valeur de cette approche ! Encore faut-il savoir quoi dire à l’inconscient… Tout l’art de cette thérapie repose donc sur la compréhension et l’utilisation de ces mécanismes, autorisant les apprentissages nécessaires à se faire, pour que les nouveaux comportements puissent émerger. Comme au final, c’est vous qui opérez ces changements, les solutions trouvées seront durables car toujours en accord avec vos valeurs ! L’hypnose c’est un espace de liberté laissé à l’inconscient pour se restructurer !

De plus, le fait d’imaginer une action sous hypnose fait appel aux mêmes zones du cerveau que quand l’action est exécutée dans la réalité. Le fait que le virtuel et le réel puissent se mélanger en hypnose est particulièrement intéressant d’un point de vue thérapeutique. Par exemple, on pourra modifier des émotions douloureuses en représentations plus faciles à vivre, achever des étapes de vie restées « coincées » dans le passé, ou encore effectuer l’apprentissage d’un nouveau comportement physique ou émotionnel.

Voici à titre indicatif une des conclusions mises en chiffres d’un article scientifique sur les efficacités respectives de la thérapie comportementale, la psychanalyse et de l’hypnothérapie :

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L’inconscient c’est quoi ?

Si je vous dis que l’inconscient c’est ce qui n’est pas encore conscient, vous risquez d’être plutôt… déçus. Pourtant, en lisant ces lignes, vous respirez, et, vous n’y prêtiez pas attention avant que je ne vous le fasse remarquer, n’est-ce pas ? Et si je vous demandais de consciemment ralentir les battements de votre cœur, pensez-vous y arriver ? C’est bien votre inconscient qui gère tous ces automatismes sans que vous ayez même besoin de savoir comment ils fonctionnent. Heureusement que c’est le cas, car la plupart du temps ça se passe bien !

Ce serait comme un super ordinateur qui aurait pour tâche de vous protéger et de vous faire vivre au mieux. C’est bien ce qu’il faut retenir : il fait au mieux, en fonction de ce que nous avons appris à travers nos expériences de vie. On peut apparenter l’hypnose à un masque de plongée que l’on met pour aller regarder sous l’eau ce qui s’y cache !

L’image ci-dessous n’est qu’une représentation graphique et non une cartographie des zones du cerveau.

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Une des grandes forces de l’inconscient : généraliser nos réactions pour gagner en efficacité. Pourquoi ? Notamment parce que penser, ça fatigue ! Réfléchir consciemment requiert extrêmement plus d’énergie que de réagir inconsciemment. Alors l’inconscient trie et sélectionne les informations les plus importantes à faire remonter au conscient. Souvent ce sont des situations nouvelles, inédites, pour lesquelles il n’a pas de point de comparaison.

Le revers de la médaille, c’est qu’il peut y avoir des conflits internes entre ce que nous désirons consciemment et l’automatisme inconscient mis en place au cours de notre vie.

A nouveau, nous avons de quoi nous rassurer car la nature est bien faite et c’est un modèle qui fonctionne dans la plupart des cas. Vous comprenez maintenant pourquoi même si ses intentions sont toujours bonnes, il arrive parfois que les moyens que l’inconscient mette en œuvre posent problème ?

L’hypnose, est un moyen de se reconnecter à ses ressources inconscientes, loin du cadre rationnel de la vie de tous les jours, pour surmonter une difficulté.

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Eric Pornin : Initiation à l’hypnose.Eric Pornin : Initiation à l’hypnose.

Eric Pornin, praticien en hypnose, explique comment notre inconscient conditionne chacun de nos choix et nous pousse souvent à subir notre vie. Il montre comment l’hypnose, en mettant notre mental au repos, peut réussir à atteindre cet inconscient afin de l’influencer et de nous libérer de chocs traumatiques que nous avons vécu, de nos conditionnements, et de nos peurs.

Blessures émotionnelles : Cette faille qui empêche d’être soi.Blessures émotionnelles : Cette faille qui empêche d’être soi.

Failles intimes enfouies, ces blessures du passé aux relents inconscients seraient à l’origine de nos maux présents, qu’ils soient physiques ou psychologiques. Des plaies de l’âme, émotionnelles, dont l’ennéagramme se sert, pour mieux nous en libérer.

Déterminer les cinq blessures fondamentales qui seraient l’alpha et l’oméga de tout ce qui ne va pas dans notre vie et qui entraveraient fatalement notre épanouissement profond. Il s’agit du rejet, de l’abandon, de l’humiliation, de la trahison et de l’injustice.

Ce sont les blessures qui nous viennent d’expériences passées non acceptées. Elles peuvent s’étendre du simple souvenir marqué par une émotion désagréable ou une absence de sens, aux traumatismes. Elles naissent dans l’enfance, généralement à partir d’un vécu réel ou perçu de manque, perte, négligence et/ou maltraitance.

Il ne serait pas juste d’affirmer qu’une enfance difficile implique nécessairement d’en subir les conséquences à l’âge adulte. Tout comme une enfance bercée par le sentiment d’être aimé et de n’avoir manqué de rien, n’est pas gage d’une croissance personnelle sans blessures émotionnelles

En effet, ce ne serait pas tant les blessures émotionnelles en elles-même qui nous feraient souffrir que, finalement, l’absence d’outils à notre disposition pour les identifier et les comprendre.

Certes, mais de quoi parle-t-on exactement ? Et surtout, comment se manifestent ces cinq blessures émotionnelles ? Explications:

Blessures, masques et problèmes racines

Grosso modo, les cinq blessures émotionnelles ont pour conséquence commune d’affecter nos choix de vie, du moins lorsque nous n’avons pas connaissance de leur existence ou que l’on a pas pu relativiser notre crainte de les vivre à nouveau.

Autrement dit, “avoir une blessure émotionnelle” revient à être influencé par un système de croyances sur ce que nous devons être, sur ce que nous devons faire ou sur ce que nous devons avoir dans notre vie, pour ne pas se la faire infliger une nouvelle fois. C’est ainsi que nous allons nous imposer toutes sortes de permissions, d’interdictions, mais aussi adopter une forme de masque social, lui-même déterminé par la blessure dont nous souffrons.

Composé d’une ligne de conduite censée nous en protéger, ce masque est également doté d’un mécanisme de défense qui façonne nos réactions face toutes les situations qui ressembleraient, de près ou de loin, à celle de la blessure ou des blessures vécues.

Dans ce cas, le mécanisme de défense utilisé sera le repli sur soi : c’est l’ultime recours défensif pour s’éviter le rejet.

C’est l’exemple de la personne qui, pour s’éviter la douleur de la blessure de rejet, va s’inscrire dans une ligne de conduite attachée à la discrétion, la modestie, le respect…etc. Des atouts qu’elle nommera peut-être ‘valeurs’, sans s’apercevoir qu’ils prennent naissance sur des injonctions et le besoin de s’éviter le jugement, la confrontation, le rejet. Et dans ce cas, le mécanisme de défense utilisé sera le repli sur soi : c’est l’ultime recours défensif pour s’éviter le rejet si, après toute l’énergie dépensée à s’en protéger, nos efforts ne venaient pas à porter leurs fruits.

De façon plus schématique, on développe l’idée que ces cinq blessures émotionnelles du passé comportent des traces observables à l’instant présent. Esquissant en filigrane nos schémas les plus ancrés, ces traces sont à la racine de nos réactions du quotidien.

Nous les appelons les 4 problèmes racines : il s’agit de la croyance limitante, de la peur de revivre la blessure, de la supposition et de la ligne de conduite. N’oublions pas que pour les traumatismes les plus lourds, ce travail d’auto-investigation exige un suivi psychologique régulier et rigoureux, d’autant plus indispensable que ces blessures tendent à façonner non seulement notre vie de tous les jours, mais également notre personnalité et notre santé mentale.

S’aimer au conditionnel

En développement personnel, nous sommes surtout confronté aux conséquences des blessures émotionnelles sur notre valeur, notre estime de soi et sur notre relationnel aux autres, mais surtout, ces blessures font qu’on a tendance à ne s’accorder qu’un amour de soi conditionné par notre ligne de conduite, qui nous demande de nous contrôler en fonction de ce que nous croyons acceptable de nous-mêmes.

En d’autres termes, cet amour-propre au conditionnel nous conduit à vivre des émotions de fierté exagérées lorsque nous nous comportons conformément à ce que l’on croit attendu de nous, et des ressentis de honte-culpabilité dans le cas contraire, comme si notre “mood” interne était laissé au bon vouloir de circonstances extérieures.

Autre conséquence des blessures émotionnelles ? Des attentes cachées sur l’Autre, qui nous placent de fait dans une situation de dépendance puisque c’est à lui ou elle qu’il appartient (ou non) d’y répondre. À nouveau, nous cédons le pouvoir sur notre état intérieur. Enfin, sur le plan du quotidien, la ligne de conduite découlant de notre blessure émotionnelle induit des répercussions sur les différents aspects de notre vie de façon très distincte, que ce soit notre carrière professionnelle, notre santé ou nos relations amoureuses.

Cependant, il faut insister sur le fait que ce ne sont pas nos blessures émotionnelles qui causent directement ce qui va suivre mais notre méconnaissance ou l’absence d’outils et de méthodes pour nous en libérer. Alors comment reconnaître nos blessures émotionnelles ?

À la découverte de nos fêlures

Nous apprenons à identifier nos blessures majoritaires en cumulant l’observation de plusieurs facteurs : l’aspect global de notre morphologie et la nature de nos réactions émotionnelles. Mais aussi par le cumul des 4 problèmes racines comme expliqué précédemment.

Par exemple, un premier exercice simple pour repérer la manière dont nous sommes concernés par une blessure émotionnelle consiste à observer les jugements que nous portons sur nous-mêmes, mais aussi ceux qui, lorsqu’ils viennent des autres, nous affectent profondément. Et pour cause, ce que nous jugeons à notre sujet s’inscrit généralement dans le cadre des croyances limitantes présentes à notre encontre.

De la même manière, les jugements que nous portons sur l’autre sont souvent, par effet miroir, en lien avec le contrôle exigé par la ligne de conduite déterminée par nos blessures les plus prédominantes.

Lorsque nous estimons que notre réaction n’est pas adaptée face à une situation, voire disproportionnée, c’est généralement signe que notre passé se transpose.

Il est aussi important d’observer la fréquence des choix que nous faisons par peur ou de façon non alignée avec nos désirs profonds ou nos valeurs. Reviennent-ils dans certains domaines de vie ou impliquent-ils nos choix vis-à-vis d’un tiers en particulier ?

Et pour cause, effectuer nos choix de vie en fonction de ce que nous croyons le moins dérangeant, critiquable, risqué, est l’une des manières les plus fréquentes de se laisser affecter par une blessure émotionnelle.

Enfin, nous pouvons observer les situations vis-à-vis desquelles nous nous laissons souvent emporter par nos émotions jusqu’à solliciter nos mécanismes de défense : le repli sur soi, la justification ou l’agression, ce troisième exercice cumulatif nous permettra de comprendre si notre lecture des événements est teintée par la présence de nos blessures émotionnelles.

Et si l’on ne devait retenir qu’un “symptôme” ? “Lorsque nous estimons que notre réaction n’est pas adaptée face à une situation, voire disproportionnée, et que cette réaction a tendance à se répéter, voire s’amplifier, c’est généralement signe que notre passé se transpose sur une situation qui semble banale à nos yeux au présent.

Quelques Idées reçues sur l’HypnoseQuelques Idées reçues sur l’Hypnose

1- Peux-ton influencer une personne à son insu avec l’hypnose ? 

La réponse est clairement NON !

La peur de dire des choses secrètes ou de perdre le contrôle sous hypnose existent. Or, vous ne faites jamais rien contre votre gré. L’hypnose fonctionne uniquement si vous êtes d’accord avec ce qui se passe. Si cela va à l’encontre de vos valeurs profondes, vous ne le ferez pas. Nous ne dormons pas en hypnose, le conscient est toujours présent et nous avons des “gardes-fous” pour nous protéger si quelque chose ne nous convient pas.


Dans les spectacles d’hypnose, le public a acheté les billets pour assister au spectacle. La curiosité est très présente, une ouverture d’esprit sur le sujet est là pour un certain nombre de spectateurs. L’hypnotiseur fait ensuite des tests et met tout le monde en léger état d’hypnose pour repérer les personnes les plus réceptives. En effet, en moyenne, 10% de la population part plus rapidement en état d’hypnose que les autres. Ce qui apporte le coté spectaculaire de l’hypnose : des personnes consentantes et qui ont ces facilités à entrer en hypnose assurent un show impressionnant.


Dans un autre cadre, celui thérapeutique, le principe est très différent : il s’agit de réapprendre la gestion de ces émotions pour ne plus en être “esclave”. Le travail se base sur l’élimination du négatif qu’on ne souhaite plus avoir pour installer les éléments positifs que l’on aimerait. Les personnes sont également consentantes pour pouvoir avancer et résoudre leur problème. Ce n’est pas pour autant qu’elles vont révéler des secrets qu’elles ne souhaitent pas divulguer ou perdre leur contrôle.

2- Est-ce que l’on risque ne pas se réveiller en hypnose ? 

Bien sûr que non !

On n’a jamais entendu parler (dans un média ou autre) qu’une personne serait resté définitivement endormie après une séance d’hypnothérapie. Au mieux, la personne hypnotisée sort de son état avec l’aide de l’hypnotiseur (ou elle-même en cas d’auto hypnose).

   Ou bien, elle plonge dans le sommeil physiologique normal après son induction hypnotique et donc, s’éveillera naturellement après un petit sommeil réparateur.

3- L’hypnose c’est de la magie… 

Et bien pas du tout puisqu’aujourd’hui l’hypnose est enseignée dans le milieu médical à des médecins, des anesthésistes.

C’est une TECHNIQUE ! Elle s’apprend soit dans le cadre d’un stage, séminaire, ou bien dans certaines méthodes et livres spécialisés. Tout le monde peut apprendre par exemple à s’auto-hypnotiser.

En quelques jours, on maîtrise la technique pour être autonome et le produire sur soi-même à volonté. 

4- Je ne suis pas réceptif !

Le terme hypnose fait référence à un état de conscience, différent de celui dans lequel nous sommes une grande partie du temps, commun à l’être humain et auquel nous accédons plusieurs fois dans la journée. De ce fait, nous sommes tous sensibles à l’hypnose.

Il s’avère que parfois, par crainte de perdre le contrôle ou tout simplement par manque de confiance vis-à-vis de l’opérateur, certaines personnes résistent à se “laisser-aller”. Si tel est votre cas, rassurez-vous, votre thérapeute connait bien les mécanismes qui permettent d’avoir l’expérience de faire de l’hypnose en toute sécurité et saura vous proposer la technique la plus adaptée. 

Tout le monde est hypnotisable, simplement pas dans les mêmes conditions.

C’est un état naturel, chacun y va régulièrement dans sa journée. Vous ne vous en rendez simplement pas compte : un film, un livre qui vous emporte, qui vous procure une émotion forte, vous vous sentez complètement dedans, vous le vivez comme si c’était en partie vous, même si vous savez consciemment faire la différence. Vous êtes dans un autre état de conscience. Certaines personnes sont plus rapides à aller dans cet état d’hypnose que d’autres mais tout le monde y va, à son propre rythme. La condition primordiale est avant tout, une part de vous-même qui est d’accord.

5- En hypnose, on dort et l’on est plus maître de soi

Non. En réalité, le terme d’hypnose vient du latin Hypnos, le Dieu du sommeil.

La seule comparaison s’arrête à un état physiologique qui lui ressemble (fermeture des paupières, respiration lente, …). A la différence du sommeil physiologique, le sujet sous hypnose entend tout ce qu’on lui dit. Le terme de sommeil hypnotique n’est sans doute pas approprié et est la source de fantasme principal sur ce sujet. Je dirais plutôt que la personne est dans un état de conscience modifiée, ce qui répond également à la question de savoir si l’hypnose est dangereuse, et la aussi, la réponse est non.

 6- L’hypnose va réveiller notre passé et nos mauvais souvenirs

C’est complètement faux.

Nouvelle idée reçue qui a la vie dure, celle qui voudrait que l’hypnose nous fasse revivre des souvenirs désagréables de notre vie, ou fouine dans notre passé à la recherche d’un secret caché… Pas du tout. L’hypnose est un procédé utilisé pour accéder aux ressources de notre inconscient. Elle ne cherche pas à récolter des informations mais à activer des processus pour résoudre tel ou tel problème. À l’image d’une mise à jour d’ordinateur. Sauf qu’ici, il s’agit d’une mise à jour de notre processeur interne. L’hypnose peut-être utilisée pour mieux gérer le stress, accompagner une perte de poids, se débarrasser d’une phobie ou d’une addiction (tabac, nourriture, alcool, médicament, drogue).

7- L’ hypnose est elle efficace ?

La réponse est oui comme l’indique cette étude que le Docteur Alfred A Barrios, de l’Université de Californie, à Los Angeles (UCLA), publia dans l’American Heath Magazine, V7, Meridien Peak Hipnosis, le comparatif suivant entre différentes approches thérapeutiques et l’hypnose:

  • Psychanalyse : 38% des patients, estiment “ressentir des changements” après 600 séances de travail.
  • Thérapies Comportementales Cognitives : 72% des patients consultés, estiment “ressentir des changements”, après 22 séances de travail.
  • Hypnose : 93% des patients, estiment “obtenir des résultats”, après 6 séances de travail.